Love Bugs Parade 2023
La 14e édition de la Love Bugs Parade fut l'une des plus mémorables. Les 300 Coccinelle et Combi présents ont attiré près de 1 800 visiteurs à AutoWorld, faisant de cette édition une journée record pour le musée automobile de Bruxelles. Par ailleurs, c'était la première fois que la Volkswagen électrique ID. Buzz participait à la parade de la Saint-Valentin.
Sur le coup de neuf heures et demie, les premiers participants entraient déjà sur l'esplanade du parc du Cinquantenaire à Bruxelles. Les amateurs de Coccinelle et de Combi avaient attendu longtemps pour revivre une véritable Love Bugs Parade en préambule de la Saint-Valentin, et c’était manifeste. À midi, l'imposante place jouxtant le musée AutoWorld était pratiquement envahie par une collection hétéroclite de Coccinelle anciennes et récentes, accompagnées de Transporter de toutes tailles et formes. En outre, c'était la première fois qu'un troisième type de Volkswagen y était admis, à savoir l'ID. Buzz électrique, qui perpétuera dans un avenir électrifié, en mode zéro émission, la tradition du sympathique minibus
Édition record
La Love Bugs Parade a été inaugurée en 2008, avec un objectif clair : célébrer l'amour (automobile) dans toute son exubérance. Depuis lors, l'événement est devenu l'un des favoris du public, tout comme les voitures qui y sont – littéralement – couronnées de fleurs. « La Coccinelle et le Transporter de Volkswagen ont depuis longtemps transcendé leur vocation première de voitures familiales à toute épreuve », déclare Jean-Marc Ponteville, attaché de presse de Volkswagen Belgique. « Ils sont devenus des symboles de la mobilité universelle, auxquels les propriétaires ont donné de la couleur et de la substance en chérissant et en personnalisant leurs voitures jusqu'à aujourd'hui. » Il n'y avait donc pas deux exemplaires identiques sur l'esplanade, où près de 300 Volkswagen avaient pourtant répondu présent pour la 14e édition de la Love Bugs Parade. Un record.
Comme de coutume, les 1 800 participants et visiteurs ont également été servis au doigt et à l’œil à AutoWorld. « Nous mettons un point d'honneur à vivifier le thème de Volkswagen au sein du musée pendant la période entourant la parade », déclare Sébastien de Baere, directeur du temple de l'automobile de Bruxelles. « Cette fois, toutes les générations de Volkswagen Transporter sont à l'honneur, du magnifique T1 avec sa caravane assortie au moderne T7. Les voitures exposées sont mises à disposition par des propriétaires passionnés, qui racontent également leur histoire dans les vidéos diffusées aux côtés des voitures. » Sur le parking extérieur, la lignée des Transporter était complétée par plusieurs modèles ID. Buzz, menés en primeur jusqu'à Bruxelles par des employés de Volkswagen Belgique.
Des pralines pour la Saint-Valentin
À midi, le parking bordant le musée était complètement envahi de voitures et de spectateurs. Entre-temps, les participants ont pu nouer des contacts avec les membres des clubs présents, ravis de partager leurs expériences avec leurs voitures. « Si AutoWorld est l'organisateur et Volkswagen le partenaire de soutien, les membres enthousiastes des clubs sont le ciment de l'ensemble », ajoute Jean-Marc Ponteville. Sébastien de Baere rejoint volontiers ce point de vue : « La Love Bugs Parade est un exemple type de dynamique de groupe, avec de nombreuses parties qui se retroussent les manches pour faire de cette journée un succès. » Et cela se voyait aux sourires omniprésents chez les jeunes et les moins jeunes, faisant disparaître en un clin d'œil le manque de soleil.
Comme à l'accoutumée, le clou du spectacle était la parade, qui conduisait les participants à Kortenberg et les ramenait au point de départ via un road book concis. À 14 heures, le T1 Flower-Power de la D'Ieteren Gallery a pris le départ avec l'ID. Buzz de Christian Schlüter, qui parcourt le monde à la recherche de #BulliLoveStories pour la chaîne vidéo de Volkswagen Commercial Vehicles Germany. Une colonne colorée de Coccinelle et de Combi suivait le sillage du duo, animée par une impressionnante haie humaine qui s'était spontanément formée sur l'esplanade. L'embouteillage qui en a résulté s'étendait presque jusqu'à l'autoroute E40, ce qui n'a causé que peu de gêne un dimanche. Mieux, les badauds ont visiblement apprécié ce spectacle haut en couleurs.
Dans les bureaux de l'importateur Volkswagen D'Ieteren à Kortenberg, les participants ont pu reprendre des forces grâce à une boîte de pralines, la traditionnelle touche personnelle de la parade pour parfaire l'ambiance de la Saint-Valentin. Ensuite, retour en colonne à AutoWorld, où le chocolat chaud et les cupcakes sur le thème des 75 ans patientaient déjà. Par ailleurs, les participants ont également eu l’occasion de visiter le reste du musée qui, des voitures hippomobiles aux voitures de course, demeure un must absolu pour tous les amateurs d’automobile. Ceux qui se sont montrés attentifs ont trouvé, parmi tous ces joyaux, d'autres Volkswagen qui ont influencé l'histoire de l'automobile à leur manière, qu'il s'agisse de la Golf, qui a succédé à la Coccinelle, ou de la Scirocco, dérivé de ce deuxième modèle à succès.
Haute voltige
L'organisateur AutoWorld et son partenaire Volkswagen étaient unanimes au terme de l'événement : la 14e édition fut un véritable succès, avec le plus grand nombre de participants et de visiteurs jamais enregistré. « La Love Bugs Parade reste unique en son genre, conclut Sébastien de Baere, car ce rendez-vous attire des visages foncièrement heureux et est également très accessible. » Jean-Marc Ponteville approuve : « Grâce à notre bonne coopération avec les clubs Volkswagen Coccinelle et Combi, nous touchons les vrais passionnés, qui nous surprennent chaque année avec des voitures spéciales et une excellente ambiance parmi les participants. » Il semble donc que les inscriptions gratuites pour 2024 seront encore plus disputées, puisque les organisateurs ont déjà dû limiter le nombre d'inscriptions à 320 voitures cette année, faute de place. Ou comment les chapitres des Coccinelle et Transporter sont encore loin d'être bouclés, alors que l'ID. Buzz fait déjà un clin d'œil à l'avenir de cet événement unique.